vendredi 25 novembre 2011
non mais!...
Sans doute parce que trop romanesque, mais aussi parce que peu enclin aux épanchements de l’intime et toujours à mille lieues du moindre commencement d’intérêt pour « les choses du quotidien », Léon, qui, d’ailleurs, à chaque fois qu’il entendait cette expression, ne pouvait s’empêcher de se lancer dans une violente diatribe, occasion pour lui de réitérer son dégoût pour ce qu’il appelait une réification rampante doublée d’une dictature de la quotidienneté illustrée tant par la presse écrite régionale que par l’écriture diariste et l’inflation des blogs, garda le silence, sa vie durant, sur le fait d’adorer la dorade…
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