À moins qu’il ne vienne à sombrer dans les tréfonds d’un manuel d’orthophonie, peu de chances de voir un jour cheminer Léon d’Oléron à Orléans…
samedi 30 avril 2011
vendredi 29 avril 2011
hé oui! #2
Qui l’eût cru de Léon : antique, philosophe et terroriste…
jeudi 28 avril 2011
fiat lux!
Pas d’halogène pour Eugène, pas de néon pour Léon…
mercredi 27 avril 2011
gamberge, Léon, gamberge
A minima trois hypothèses à propos de cette carte de visite au nom de Spade incidemment découverte dans le sac à main d’Emma : soit, comme elle le prétend, elle l’a bien découverte dans la veste de Charles, ce qui pourrait signifier que ce dernier entend faire surveiller par l’Amerloque sa femme et moi-même (auquel cas, il conviendrait de chercher à savoir si son emménagement dans mon immeuble, et de surcroît sur mon palier, est dû au hasard – point de vue que la serveuse du Blue Moon bar démentirait très certainement – ou participe d’un plan global, ce qui signifierait que la nature de mes relations avec Emma a été mise au jour par ce loqueteux alcoolique, ce qui ne me semble tout de même que peu probable) ; soit c’est Emma qui a besoin des services de Spade, et dans ce cas il convient de se demander pourquoi, et à l’encontre de qui : faire surveiller son mari, moi-même, un autre (ô vertige des possibles !) ; ou bien Spade, me surveillant dans le cadre d’une enquête dont les tenants et aboutissants me sont pour l’instant totalement inconnus (mais sans rapport avec la liaison adultère qui m’unit à Emma), aurait laissé sa carte de visite à cette dernière afin qu’elle lui communique des informations à mon sujet dès qu’elle le jugerait opportun, auquel cas Emma mènerait un double jeu (mais depuis quand ?), de son plein gré ou sous la menace (ces Amerloques sont capables de tout, suffit de regarder leurs films !), ou peut-être même travaillerait pour Spade depuis le début de notre relation, auquel cas notre rencontre ne serait en rien due au hasard comme je me l’étais toujours imaginé, et ainsi ce que depuis si longtemps j’appelle amour…
mardi 26 avril 2011
troublant
Si Wikileaks avait existé en 1974, sans doute aurait-on pu savoir pourquoi Richard Nixon avait annoncé sa démission le jour même où Léon fêtait ses 22 ans.
lundi 25 avril 2011
puisqu'il faut un début à tout #2
Chaque fois qu’il ouvrait un dictionnaire, Léon se demandait par quel bout commencer.